Soit un homme seul, assis en pyjama rayé, au centre de la scène – admirable Marc Berman – à dévider le fil de ses souvenirs, de ses cauchemars qui, comme de bien entendu, le prennent toujours à revers : les réponses à ses appels au secours ne sont jamais celles qui sont attendues. Il fallait un doigté, une délicatesse extrêmes pour faire théâtre de tout cela. Stéphane Valensi y parvient avec intelligence et drôlerie. (…)
Autant dire que ce « petit » spectacle est une véritable réussite.
Jean-Pierre Han, Revue Frictions
Très bel objet théâtral où défile dans le désordre toute une vie… L’art de Grumberg, c’est de convoquer le rire en terre étrangère, d’en user comme d’une arme de protection massive contre la bêtise et la haine. Stéphane Valensi signe une mise en scène limpide.
Saluons une excellente distribution et la présence, le jeu subtil d’un Marc Berman impressionnant.
Marie-Josée Sirach, L’Humanité
Il est à l’affiche du off avec l’excellente mise en scène de Stéphane Valensi. C’est l’une de ses pièces les plus déchirantes. C’est mis en scène avec délicatesse et interprété de manière à la fois rigoureuse et bouleversante par Marc Berman, magnifique et sobre dans son pyjama rayé…
Armelle Héliot, Le Figaro
Trois formidables acteurs, un violoniste hors pair… Grumberg a ce talent miraculeux de sonner toujours juste et de n’user d’aucun artifice, mais seulement de simplicité de force et d’humour…
Jean-Luc Porquet, Le Canard Enchaîné
C’est drôle et poignant, parfois même bouleversant, sans pathos. Où l’on voit qu’il suffit parfois de peu (un texte et des acteurs) pour faire un grand spectacle.
Jack Dion, Marianne
Ce spectacle, impeccablement joué et mis en scène, est un bijou.
Marion Richez, Magazine Théâtral
Stéphane Valensi a su donner le maximum en offrant une mise en scène sobre mais très efficace. Une pièce à l’humour délicat que l’on adore.
Jean-Michel Gautier, La Marseillaise
Marc Berman est impressionnant et très bien accompagné par Guilaine Londez et Marc-Henri Boisse, dont la voix singulière apaise et inquiète à la fois.
Dans la pénombre du rêve éveillé de Grumberg, Boris Winter égrène des notes au violon. Un petit bijou de 45 minutes, subtil et drôle.
Rue 89
L’écriture épurée est servie par une mise en scène simple et brillante.
Marie-Laure Atinault, Webthea