« Je regrette que mon propos ait pu vous donner le sentiment que j’éprouvais la moindre nostalgie de l’ancien régime, une sorte de regret de la bonne vieille névrose de papa, de la névrose articulée autour de l’amour du père. Je ne souhaite aucunement qu’on en revienne, pour échapper au malaise actuel de la civilisation, à celui que décrivait Freud », répond Charles Melman à Jean-Pierre Lebrun au début de ce quatrième chapitre.
Lien vers la lecture du chapitre IV : https://youtu.be/kuV_9HU9v-s